2017, Cap sur les audacieux

En 2017 l'Atelier du Ruau va inviter des personnes, proches ou lointaines qui incarnent un style de vie qui est en accord avec leurs valeurs et qui ont fait des choix professionnels courageux.




28 janvier 20h15 au Foyer, St-Blaise: Projection du film "Tout s'accélère".

Gilles Vernet
Le réalisateur, ancien trader,  a travaillé dans les années 90 dans les plus grandes banques internationales. Vivant à un rythme frénétique, il a tout quitté en 2001 et est devenu instituteur. Passionné de longue date par la question du temps et du développement exponentiel de la modernité il a partagé ses interrogations avec ses élèves, il a été sidéré par la justesse de leurs réflexions. Il a décidé de filmer cette classe exceptionnelle dans l’obljectif d'éveiller les consciences et les sens pour nous permettre de penser d’autres possibles, à titre individuel et collectif. 

11 février 20h15 au Foyer, conférence



Lucien Willemin 
Serial consommateur sur le chemin de l'évolution, il a développé des concepts innovants pour consommer avec sagesse dans un monde où tout nous pousse au contraire. Communicateur génial, Lucien Willemin ne porte que des chaussures rouges, symbole pour mettre en lumière tout le positif qui nous entoure. Une communication collective pour ceux qui ont envie de prendre soin de la Vie





18 mars  20h15 au Foyer, film

 "L’Homme qui répare les femmes »
Nous découvrons le Dr Mukwege,  ce gynécologue mondialement connu, récompensé par le prix Sakharov. Dans son pays, la RDC, le viol et les exactions sexuelles sont une arme de guerre. Derrière l’horreur qu’il confronte, se dessine le visage d’un homme passionné par la vie, animé d’une foi bouleversante qui se lance dans le combat politique pour lutter contre l’impunité des agresseurs.
Témoignage de Jean-Claude Schwab qui l’a rencontré en personne.

29 avril 20h15 à l'Atelier du Ruau 

Entretien avec Barbara Weiss,  coach de vie et membre de la communauté de Montmirail. Depuis 20 ans elle transmet sa flamme de vie et accompagne les nombreux groupes et personnes qui séjournent à Montmirail. Elle a fait le choix avec son mari de s’engager totalement dans une vie communautaire qui n’a rien d’austère même si elle se réclame de ses racines monastiques mais qui au contraire leur permettent de vivre dans la confiance et l’audace de ceux qui osent vivre différemment !
Elle nous partagera la richesse de cette vie engagée et des choix que cela impliquent.

Autres ateliers durant cette période

Lire plus et découvrir d'autres audacieux:

Impulsions, idées, gestes concrets

Nous approchons de temps fiévreux de Noël qui semble vouloir nous happer toujours trop vite et c'est une sorte de défi de garder le cap et ne pas nous laisser entraîner sur le tapis roulant de la consommation qui nous emmène loin de nos rêves.

Nous avons pensé à cela et nous sommes dit qu'en prenant le temps de penser et choisir à l'avance ce qui est important pour nous, nous pourrions vivre ce passage comme un temps de veille et de reliement à ce qui nous est cher et ceux qui nous sont chers.
Nous vous invitons donc à nous arrêter ensemble
· pour s’interroger
· donner sens
· rejoindre nos intentions profondes


   Partage d'impulsions, idées, gestes concrets

                                   Le chaudron de Noël


                         Réenchanter Noël




Have fun


Have fun! 

Ayez du plaisir dans ce que vous faites! C'est le critère choisi par les artisans du changement dans les "Villes en transition". Le plaisir est au rendez-vous quand nous agissons par passion, par amour, en vue du bien commun. C'est ce que nous visons dans nos engagements à l'Atelier du Ruau. Notre programme d'automne fait la part belle:
  • à la créativité: journal créatif, mouvement conscient, modern dance, repas nomade, lecture-coups de coeur, atelier de poterie
  • et à la méditation : "veillées de l'Avent" en décembre et accueil du "Temps donné" en janvier.

fleurissent sans faire de bruit, notre partage lié aux "Incroyables comestibles" continue modestementau bord du Ruau. Nous sommes encouragés de voir de tous côtés émerger des initiatives favorables à la vie. Par exemple: Cette semaine un article du journal neuchâtelois a+  sous le titre : "Pousses urbaines" le conseiller communal Olivier Arni dit:  «Nous herborisons et fleurissons la ville. Il y a une volonté de favoriser la sociabilité, car la nature est propice à la détente et aux échanges positifs, mais aussi renforcer et mettre en valeur la biodiversité, élément clé contre le réchauffement climatique.»



Les audacieux 


Les membres du Réseau solidarité qui sont à l’origine de l’Atelier du Ruau ont le désir de rester dans le sillage des audacieux. Après Sylvie Dalibard, Charlotte Touati, Sylvie Perrin Amstutz (articles archivés dans "A re-lire" à droite), nous en découvrons beaucoup d’autres autour de  nous,  qui incarnent un style de vie qui est en accord avec leurs valeurs et qui ont fait des choix professionnels courageux. Par exemple Mark Haltmeier, membre du Réseau, qui a inauguré dans son entreprise, Ecodev, "Le salaire en fonction de ses besoins plutôt que de ses mérites."(Voir article du Courrier.)




Aujourd’hui nous vous transmettons dans la rubrique "l'audacieuse du mois",  le récit de Catherine Simonetta qui a saisi l’occasion de ses vacances estivales pour se rendre à Totnes en Angleterre, point de départ du mouvement des "Villes en transition" découvert dans le film Demain.


Rencontrer ces audacieux c’est contagieux. Cela réveille la part audacieuse en chacun de nous, la part qui est prête à sortir de la morosité et de la soumission au modèle économique dominant, la part de nous qui est prête à relever un défi, à commencer à sourire à son voisin et à "semer quelques graines devant sa porte" et à mettre en œuvre une passion, un rêve, une vocation.


...ça bouge partout!


Un article du journal 24 Heures le confirme: L'effet du film «Demain». «Les collectifs souhaitant appliquer les solutions du film écolo se multiplient.
Jamais on n’a vu un tel engouement, des initiatives naissent de toute part : jardins collectifs, consommation et production d’énergies vertes, monnaies locales, paniers issus de l’agriculture de proximité se multiplient.

Fête de l'été au bord du Ruau


Cet été tant attendu, nous lui avons fait la fête ce 28 juin à l'Atelier du Ruau ! En nous inspirant de la tradition ancienne de la fête de la Saint-Jean d’été, qui marquait le solstice d’été,  et qui était accompagnée de grands feux de joie.  Elle comportait toujours le soir une veillée et se terminait par un bal nocturne. Une autre tradition voulait que l'on récolte des plantes médicinales le 24 juin.

Tous ces éléments, musique, plantes aromatiques, feu et danse nous ont été donnés -  à commencer par l’été tant attendu et ont fait partie de la fête. Elle est née comme une chose naturelle et simple, fruit de la  rencontre de tous les ingrédients apportés spontanément par les différents convives. A l’avance, les jardinières avaient cueilli les herbes aromatiques du jardin Ruau et les ont mêlés à différentes bases : huiles, vinaigres, sels, etc. pour les vendre sur les étagères de notre marché estival.






Nos amis syriens, avec leurs outils, leur savoir-faire ont aménagé et rangé le toit, qui s’ouvre sur un panorama magnifique.
Et c'est là que la fête a commencé par une joyeuse improvisation musicale sur les instruments en argile, cloches, tamtams, ocarinas etc.










Les artistes étaient parmi nous

La caissière de l'Atelier, qui a le don de rendre possible les choses impossibles en soutenant en encourageant les rêves fous, elle,  avait joliment décoré les ocarinas façonnées par la potière.

Dès le rassemblement sur le toit,  Nicole von Bergen, en guide dotée d’une bonne voix, a donné sens à tous les moments qui se sont succédés, et a réussi à nous déplacer en douceur,  depuis le toit de l’atelier, en passant par le vernissage, par le marché  à la poterie,  jusqu’à la veillée dans le  jardin en face.




Catherine Juan est venue de loin pour inaugurer la belle exposition de ses photos reprises en peinture.
Kim, Coralie et Giovanni ont interprété des airs connus, spécialement de Brassens, que nous avons repris en choeur





- Les familles syriennes, accompagnées par Hekmat à l’oud traditionnel, ont interprété les airs de leur pays, trésor culturel d’un peuple déchiré. 

Des mélodies qui ont fait naître un pas de danse initié par Sarah et Eisa et qui s’est terminé en joyeuse farandole autour du feu.


- Il y a aussi eu des magiciens : magicien du feu, magiciens du rangement, magiciennes du buffet composé des spécialités syriennes complétées par les plats variés apportés par les convives qui ont répondu généreusement à l'invitation et sans lesquels il n'y aurait pas eu cette plénitude partagée.

Expérience d’une Présence,  expression de l’amour qui coule dans nos veines et qui veut cette vie si riche à l'image de la diversité de nos visages.

- Ce soir-là les anges ont passé.
Et le lendemain matin, alors que je m’apprêtais à arroser notre potager il y a encore un ange qui débarque avec le désir de nous aider à ranger. Comme c’était déjà fait, il a porté à ma place les arrosoirs et j’ai pu faire le paillage de la platebande pendant ce temps.
Alors, chers anges, vous avez été messagers du Très Haut qui s’est fait le Très Bas parmi nous .                                                                                                                    Thérèse Schwab








C'est la fête!


depuis le toit jusqu’au jardin pour fêter joyeusement l’apogée de l’année.

L’été va arriver, finalement!
Nous l’accueillons en musique, dans la convivialité:
Sur le toit :
Improvisatons, coups de sifflets et cloches d’argile 
Au 1er étage : 
Apéro et vernissage 
de l’expo des œuvres de Catherine Juan
A la poterie : 
Marché solidaire
Préparations aux plantes aromatiques du Ruau, etc
Musique traditionelle de Syrie
 par Hekmat Homsi et famille
Coralie, Kim et Giovanni
interprètent Georges Brassens

Au jardin :
  Feu, musique, repas convivial
avec quelques spécialités syriennes complétées par nos salades et gâteaux. 



Enfants, jeunes , adultes de tous âges, soyez les bienvenus. 

Une petite salade, une bouteille ou un gateau peuvent être mis sur la table commune.

Pour vos vacances, une inspiration :  Le temps retrouvé,


Le changement est en route

Le changement est en route

et nous sommes tous concernés: changements climatiques, changements sociaux, crises économiques... Déçue par le manque de réaction des décideurs, une société civile se réveille; des gens se regroupent et inventent des alternatives au courant dominant.

En voici quelques indices:

Les films "En quête de sens" et "Demain", ainsi que l'Encyclique du pape François consacrée à l'environnement sont traversés par un même souffle : regard lucide sur les menaces qui pèsent sur la nature, émerveillement pour la beauté de la création et détermination à passer d'une attitude prédatrice qui ruine les ressources terrestres à une écoute empreinte de respect et de compassion. Il s'agit de réapprendre à écouter, comme le Christ, les oiseaux et les fleurs des champs (Matthieu 6.26) et prendre soin de notre environnement dans l'amour.

Le film «Demain» a résonné comme un électrochoc et suscité un élan nouveau vers la terre:

«Le trait le plus significatif de ce moment historique sur Terre n’est pas la quasi-destruction de notre planète, mais que nous commençons à nous éveiller, comme d’un sommeil de plusieurs millénaires, à une relation entièrement nouvelle à notre monde, à nous-mêmes et aux autres – et à la remise en valeur de la bienveillance.»
Joanna Macy, Ecopsychologie pratique et rituels pour la Terre


"L’encyclique du pape François fera date. Elle sera une source incontournable d’inspiration, d’encouragement et de rassemblement pour tous les défenseurs de la nature, croyants ou non. Pour les chrétiens d’abord, trop nombreux à être «incohérents» et «passifs» François rappelle que la protection de la Création n’est pas «quelque chose d’optionnel ni un aspect secondaire dans l’expérience chrétienne». Le message de François va  au-delà de l’Eglise catholique. Il s’adresse en effet à «chaque personne qui habite cette planète», car on ne pourra pas sauvegarder la Terre – notre «maison commune» sans une «nouvelle solidarité universelle», sans «les talents et l’implication de tous, […] chacun selon sa culture, son expérience, ses initiatives et ses capacités». MM.Egger


Voici quelques signes de cette nouvelle relation au monde, proches de nous :
  • Le cours de jardinage bio, à l'Atelier du Ruau a rencontré un vif intérêt et réunit une fois par mois une dizaine de jardiniers amateurs.
  • A La Chaux-de-Fonds règne un enthousiasme contagieux autour d'un groupe d'"Incroyables comestibles" qui s'engage à créer un terrain expérimental autour des arbres de la place de l’ABC. Quant aux lycéens de Blaise-Cendrars, ils se retroussent les manches, bien décidés à ensemencer les environs de leur établissement.
  • A Lausanne, les «Incroyables comestibles» ont adopté le slogan «Je plante, tu arroses, on partage» qui définit très bien la démarche qui consiste à créer des liens sociaux autour du partage de la nourriture.
  • Lors du café-jardin de l'Atelier du Ruau, consacré  aux "Semis de tomates", Freddy et Susanne Lauper nous ont livré tous leurs secrets pour des récoltes réussies. Notes disponibles.
  • Un groupe de réflexion et de travail s'est constitué dans l'Entre-deux-lacs pour accueillir les requérants d'asile logés dans les abris PC de Marin le mercredi après-midi au Foyer et leur proposer différentes activités. Renseignements auprès de Requ'EREN

Vendredi 15 avril 2016 à 20h
au Temple du Bas

Les enjeux concernant notre alimentation et l’environnement sont vécus à des degrés différents au Nord et au Sud. Le spectacle de la troupe Mwalimu-théâtre nous fera réfléchir avec l'humour et la joie qui leur sont propre à notre manière de consommer. Le spectacle qui dure à peine une heure est suivi d'un "poussenion" éthiopien et d'un petit marché à la congolaise!






19, 26 avril, 3, 17 mai de 14h30 à 15h45
Méthode Feldenkrais

Prise de conscience par le mouvement    
Série consacrée au bassin et au plancher pelvien 

Premier "enfant" de la série "Nous les femmes", l'introduction à la méthode Feldenkrais du 24 février ayant répondu aux attentes des participantes, Heidi Borel nous propose  une série spéciale consacrée au périnée.

20 avril 2016 de 15h30 à 19h
Cuisine créative - Quatre recettes gourmandes

Troisième rencontre de la série "Nous les femmes"
4 recettes inattendues, gourmandes et légères à base d’aliments complets et biologiques de haute qualité nutritionnelle, par Mary-Claire Jeannet nutrithérapeute, auteur de l'ouvrage "Ménopause saveurs".


2 mai à 20h15 à l'Atelier du Ruau
Le temps retrouvé

Dans un climat où tout s'accèlère, rester libre, se ressourcer, choisir ses engagements est un réel défi.
Avec Jean-Claude Schwab

Quelles nouvelles pour le printemps 2016 ?

Beaucoup de nouvelles à partager avec vous depuis l'Atelier du Ruau !
En premier lieu nous attirons votre attention sur les rubriques à droite de la page Accueil :
- l'annonce d'un cours de jardinage bio pour débutants
- l'ouverture du service traiteur "Saveurs syriennes" qui a rencontré un beau succès pendant les fêtes de Noël
- le récit de vie de notre "audacieuse du mois"

Toutes les précisions sur le programme sont disponibles en un clic.


La foule s’est déplacée pour voir le film "En quête de sens" vendredi 5 février 


Les jeunes du Buzz nous avaient précédés en chantant, et nous, les invités de l’Atelier du Ruau, avons reserré les rangs pour vivre ce moment intergénérationnel sur les traces de Nathanaël Coste et Marc de la Ménardière dans leur quête de modes de vie alternatifs et de croyances qui répondent aux défis de la crise qui nous affecte.


Pas besoin d’aller au bout du monde pour le trouver ce sens. Il est au plus profond de chacun de nous.  Quoique... pour notre audacieuse du mois, Sylvie Perrin Amstutz,  il a fallu prendre le large avant de revenir sur ses terres ancestrales et ouvrir son jardin potager aux enfants, aux vers de terre, aux oiseaux et à toutes les créatures de Dieu qui souhaitent s'y installer (exceptées les limaces!?)


Quand « Nous les femmes... » nous réunissons pour créer :


L’été 2015 a vu la naissance d'un jardin potager bio collectif en face de l'Atelier : butte de permaculture, plantations, semis, cueillettes, confection de pestos, tisanes, se sont faits dans l'émulation des efforts mis en commun. Ils ont abouti à la boutique de Noël et permis de verser le bénéfice de CHF 1'500.- sur le compte de l'As'Ciarue, une association de soutien au Centre d'initiation aux arts pour les enfants de la rue de Kinshasa, que Jean-Claude et Thérèse Schwab ont visitée en décembre. Merci à vous tous qui avez contribué.


Ayant goûté au plaisir de créer ensemble, vivre la nature ensemble, jardiner, cuisiner... tout en parlant et riant, nous avons désiré ouvrir la palette des découvertes et des rencontres avec une série d'ateliers expérimentaux: 


Le premier aura lieu le 24 février et sera consacré à la découverte du Mouvement selon Feldenkrais,

le 23 mars, nous inaugurerons le printemps en façonnant des petites ocarinas en argile qui rivaliseront avec le chant des oiseaux.

le 22 avril, santé, saveurs et cuisine créative feront bon ménage.

Et le journal créatif du 25 mai nous donnera la chance de créer à partir de l’écoute intérieure.

Pas besoin de courir pour nous suivre !
Le 2 mai sera une soirée méditative pour aller vers un temps qui nous est re-donné lorsque nous nous arrêtons pour l'accueillir.

Bienveillance – Bien veiller

Bien que 2016 commence dans un climat troublé, nous faisons le pari de garder l'espérance. Le regard de foi nous fait voir le monde en souffrance, comme un monde en devenir,  travaillé  par les douleurs de l'enfantement  Un autre monde est en train de naître.
Les accords conclus au terme de la conférence sur le climat COP 21, les films "Demain" et "En quête de sens" qui ont rencontré un grand écho dans les salles de cinéma, sont les signes tangibles que le changement est en marche et que la société civile se réveille.


Pause hivernale

L'Atelier du Ruau commence l'année par une pause hivernale, un temps de repos calqué sur la nature. Dans son ouvrage "Stratégie de la bienveillance", Juliette Tournand  fait résonner les deux parties du mot bien-veillance qui peut alors prendre le sens de "bien veiller. Car veiller, c’est paradoxalement deux choses : d’une part ne pas dormir mais d’autre part ne pas agir. Ce paradoxe se résout en une attitude passionnante : se préparer à l’action, immobile, silencieux. De la qualité de notre veille dépendra la qualité de notre action. "Immobiles, silencieux nous cherchons donc à nous mettre en accord avec notre temps, à retrouver l'accord intérieur et à nous encourager à agir à partir de notre coeur.




!!!5 février à 20h15 : Projection du film "En quête de sens - voyage au-delà de nos croyances"!!! au Foyer au nord du Temple de St-Blaise

C'est l'histoire de deux amis d’enfance qui ont décidé de tout quitter pour aller questionner la marche du monde. Leur voyage initiatique sur plusieurs continents est une invitation à reconsidérer notre rapport à la nature, au bonheur et au sens de la vie.
En rapprochant les messages d’un biologiste cellulaire, d’un jardinier urbain, d’un chamane itinérant ou encore d’une cantatrice présidente d’ONG, Nathanaël Coste et Marc de la Ménardière nous interrogent, nous et notre vision du monde au travers de leur propre remise en question.

L’histoire du film En quête de sens 


Quand Nathanaël retrouve Marc à New York, les deux amis ne se sont pas vus depuis 10 ans et leurs trajectoires les ont éloignés : Nathanaël vient de finir un film environnemental en Inde, Marc, lui, exporte de l’eau en bouteille pour une multinationale.

Mais un accident vient interrompre son "rêve américain". Cloué au lit, il se résout à visionner une série de documentaires laissés par Nathanaël sur la "marchandisation du monde". Dès lors, sa conscience ne le laissera plus tranquille. Oubliant ses plans de carrière, Marc rejoint Nathanaël en Inde où ils commencent une épopée improvisée. Equipés d’une petite caméra et d’un micro, ils cherchent à comprendre ce qui a conduit aux crises actuelles et d’où pourrait venir le changement. De l’Inde au Guatemala en passant par San Francisco et l’Ardèche, c’est toute leur vision du monde qui va être ébranlée...


Questions

Les crises écologiques trouvent leurs racines dans notre vision du monde et dans notre rapport à la nature. La Terre est-elle uniquement un gisement de ressources à exploiter ? Notre maison ? Un endroit hostile ? Une source de vie et d’émerveillement ? En sommes-nous vraiment séparés ? Sommes-nous sincèrement mobilisés pour maintenir un environnement favorable à la vie ?